© CFOC
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Art de la table, décoration, mobilier haut de gamme : un regard français sur l’Asie et l’Orient.

Une histoire intime

C’est un ami très cher qui m’a fait découvrir la CFOC. Il y a très longtemps. C’était au 170 boulevard Haussmann, dans le 8ème à Paris, un très bel espace qui demeure, aujourd’hui encore, l’adresse phare de la marque. Mon ami était un esthète, amoureux du Japon et de l’Asie. En guise de cadeaux à ses proches, il offrait souvent des trésors de la CFOC. J’eus la chance d’en recevoir quelques uns. Il avait le goût des belles choses qui ne se démodent pas. Avec lui, j’ai fait mes premiers pas sur ce continent du Levant, lors d’un voyage extraordinaire au Laos.

Mon ami n’est plus là aujourd’hui. Mais la CFOC est pour moi si intimement associée à lui que je voue à cette marque une profonde affection.

Depuis la création de Misc en 2015, j’ai eu l’occasion, à de multiples reprises lors de présentations presse, d’échanger avec des personnes en charge de la création et de la production pour l’enseigne. Il y avait de la passion dans leur paroles et beaucoup de respect pour les savoir-faire du bout du monde dans leurs récits. Ça n’a fait que renforcer le lien.

Si vous me suivez sur Instagram, vous savez peut-être que, début juillet, via son bureau de presse, la CFOC m’a proposé de choisir parmi ses collections des pièces qui me plaisaient pour pouvoir vous les présenter. Sans hésiter une seconde, j’ai choisi une lampe Chifumi et une nappe Mosaïque accompagnée de ses serviettes. Cette lampe origami je l’avais vue en boutique et je l’avais trouvée d’une élégance folle, dans ses proportions, son socle en bois de manguier et son textile texturé. Quant à la nappe, moi qui ne suis pas très arts de la table en temps normal, j’ai eu un coup de foudre pour ce patchwork de lin brodé aux couleurs subtiles. inspiré d’une technique ancestrale coréenne appelée pojagi.

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© Misc Webzine
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Dans sa démarche d’hybridation des cultures, la CFOC offre un luxe authentique et généreux, invente un art de vivre servi par un design unique et reconnaissable, et invite au plus beau des voyages.

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Une marque qui revendique ses origines françaises et son goût pour l’ailleurs

L’ADN de la CFOC c’est un regard français sur ce qui est beau, empreint de bienveillance, de générosité, d’audace et de sens. Son fondateur, grand voyageur, marchand et collectionneur, avait une passion pour l’esthétique de l’utile et savait repérer des savoir-faire uniques, notamment chinois. Il consacrera sa vie à préserver ces patrimoines et à faire découvrir ces artisanats. En 1966, il ouvrit à Paris la première boutique de la Compagnie Française de l’Orient et de la Chine. Une boutique-musée, concept-store avant l’heure.

L’histoire de la CFOC commence dans les années 60. C’est une histoire de passion, de voyage, de rencontre. L’histoire d’une famille aussi, dans laquelle on s’est transmis l’amour de ce beau venu de l’Empire du Milieu. C’est l’histoire d’un homme, François Dautresme, qui a su faire rayonner l’art de vivre et les savoir-faire asiatiques jusque dans les musées. C’est également l’histoire d’une entreprise française qui a traversé les décennies et qui a connu une renaissance avec Laurent Dumas. C’est une magnifique histoire humaine dont nous sommes fiers et qui nous anime encore et toujours.

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Les valeurs de François Dautresme sont toujours celles qui animent la CFOC, près de 50 ans plus tard. En 2011, Laurent Dumas, homme d’affaires passionné d’Art, décide de donner un second souffle à la marque mythique en l’inscrivant dans un art de vivre contemporain. En 2016, Valérie Mayéko Le Héno prend la direction artistique du bureau de création et perpétue l’union de l’art de vivre à la française à des savoir-faire artisanaux exigeants et minutieux venus d’ailleurs.

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© CFOC – François Dautresme et Valérie Mayéko Le Héno

Main dans la main avec les artisans

Supprimant les intermédiaires, la CFOC a su tisser des liens précieux, respectueux et indéfectibles avec des artisans que l’enseigne appelle ses compagnons, comme on nomme ceux avec lesquels on voyage. Ces ateliers de fabrication appartiennent souvent à des familles qui se transmettent les savoir-faire de génération en génération.

Les objets de la CFOC sont tous des créations originales qui célèbrent l’ouverture et le métissage ainsi qu’un luxe responsable et durable. Petits rangements, vases, luminaires, mobilier, textiles, décoration font rayonner des savoir-faire du Cambodge, de la Chine, de l’Inde, des Philippines, du Vietnam, du Myanmar, de la Corée, de l’Indonésie, de la Mongolie, de l’Ouzbékistan ou encore du Japon. Tous sont représentés : la vannerie, l’ébénisterie, le tissage, la verrerie, la céramique, la laque.

De plus, l’art reste central pour la marque qui accueille régulièrement des expositions dans ses magasins et qui propose également fréquemment des collections capsules créées avec des designers invités.

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